ouvrez des écoles vous fermerez des prisons

Ouvrezles écoles catholiques a l'ancienne, non mixtes,disciplinées, avec un vrai programme scolaire et là vous fermerez des prisons. Mais vos Servicespublics ouverts "L'activité continuera avec plus d'intensité, ce qui veut dire que les guichets des services publics resteront ouverts, les usines, les exploitations agricoles, les bâtiments et travaux publics continueront de fonctionner", a détaillé Emmanuel Macron. Pas de précision sur les salles de spectacle Samedi une vingtaine de femmes et de filles ont manifesté dans la capitale aux cris d'« ouvrez les écoles ! ». La manifestation a duré moins d’une Meilleur Site De Rencontre Gratuit Forum. Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons »Itinéraire et Intendance C'est là encore une partie essentielle du projet, puisqu'il s'agira de préparer le voyage, pour le printemps 2013. Il emmènera une dizaine d'élèves, de Carcassonne au moyen-Atlas marocain, à l'aide du Tricycle et la détermination de l'itinéraire précis , outre la sécurisation du trajet lui-même et les négociations avec les autorités locales des villes-étapes, aura une incidence très forte sur la communication sera également nécessaire de prévoir de très précisement, les conditions de restauration et d'hébergement, de façon pragmatique et économe. C'est au Collège Georges BRASSENS qu'incombera ce travail minutieux, sous l'impulsion des enseignantes Mesdames MUNOZ, MAROIS et DUPRE ainsi que du Principal-Adjoint Mr. et Financement Comme souvent, le nerf de la guerre. La collecte d'informations, les dossiers de presse, et bien évidement, la course aux sponsors et financements. Les éléves qui ont choisi de s'impliquer dans cet atelier determineront, par leur efficacité, les moyens financiers disponibles et l'écho donné à l'évènement. Le Lycée Lacroix en aura la lourde charge, gràce à l'implication de Caroline DELAGE et son équipe d' défi consiste ici à construire, "ex-nihilo", la remorque qui, attelée au véhicule e-car, transportera les Pc. Des critère de stabilité, de centre de gravité très bas, d'étanchéité, de fiabilité évidents, se doubleront d'une nécessaire compensation de la charge ainsi générée par l'apport d'énergie photovoltaïque supplémentaire. Un défi technique, donc, qu'ont accepté de relever Stéphane AUDEBERT et son équipe du Lycée Jules FIL de et Pont Pédagogique L'aspect Humain et Solidaire du projet est pour nous tous essentiel. C'est pour en accentuer la portée que le Collège Victor HUGO, dans le cadre du "Club Solidarité" animé par Marie-Laure CREIGHTON, a décidé de centraliser une collecte de fournitures scolaires, de médicaments, de jouets et jeux éducatifs, de paires de lunettes de vue... et bien sur d'ordinateurs portables ! Ce matériel sera remis aux enfants des écoles du Moyen-Atlas. L'équipe du Collège HUGO prends en charge également le contenu pédagogique qui sera inclus dans les PC, en collectant auprès d'enseignants volontaires des contenus de cours, toutes matières Primaire/ Collège ainsi que des supports véhicule solaire e-car est au centre du projet 2013. Il a déja participé, avec le Collège Anglade, au Rallye solaire Phébus 2010 et est ensuite allé défendre les couleurs françaises à l'Exposcience Internationale de autant, l'itinéraire envisagé, plus de 1700 Kms, dans des conditions de routes et de climat difficiles, impose une préparation minutieuse et des améliorations constantes. C'est sur lui que les projecteurs seront braqués, comme toute vedette, il se doit de briller. C'est fort logiquement le Collège Anglade, initiateur de la première heure de ces projets, qui par son Club Scientifique, encadré par Bruno LECUBAIN, préparera l' projet unit les efforts d'un collège et quatre lycées partenaires, à savoir Chaque élément du projet e-care 2013 est étroitement lié aux autres. Chaque atelier est essentiel et partie du et Financement du projet Lycée Dr. LacroixCollectes et Dons PC, Fournitures scolaires, Paires de lunettes... et Pont Pédagogique Collège V. HugoConception et réalisation de la remorque solaire e-carry Lycée J. FilPréparation du Tricycle Solaire e-car et de sa remorque e-carry Collège J. AngladeEtablissement de l'itinéraire et recherche des hébergements Collège BrassensAucun CopyRight, toute reproduction vivement encouragée... loi 1901 déclaration en Préfecture N° W113002529 AVENIR-PRISONVous avez réfléchi à la prison,à la justice,à la prévention,à la réinsertion au système judiciaire et carcéral français. Vous avez une connaissance d'autres systèmes dans d'autres pays européens ou du reste du monde que vous souhaitez souhaitez partagez vos analyses,vos propositions,vos actions,un témoignage. Ce site vous est ouvert! Accueil Contact Publié le 6 mai 2011 par AVENIR-PRISON Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons- Victor Hugo par AVENIR-PRISON Discours devant l'Assemblée nationale en 1848 de Victor Hugo J’ai déjà voté et je continuerai de voter la plupart des réductions proposées, à l’exception de celles qui me paraîtraient tarir les sources mêmes de la vie publique et de celles qui, à côté d’une amélioration financière douteuse, me présenteraient une faute politique certaine. C’est dans cette dernière catégorie que je range les réductions proposées par le comité des finances sur ce que j’appellerai le budget des lettres, des sciences et des arts. Que penseriez-vous, messieurs, d’un particulier qui aurait 1500 francs de revenus, qui consacrerait tous les ans à sa culture intellectuelle, pour les sciences, les lettres et les arts, une somme bien modeste 5 francs, et qui, dans un jour de réforme, voudrait économiser sur son intelligence six sous ? Voilà, messieurs, la mesure exacte de l’économie proposée. Eh bien ! ce que vous ne conseillez pas à un particulier, au dernier des habitants d’un pays civilisé, on ose le conseiller à la France. Je viens de vous montrer à quel point l’économie serait petite ; je vais vous montrer maintenant combien le ravage serait grand. Ce système d’économie ébranle d’un seul coup tout net cet ensemble d’institutions civilisatrices qui est, pour ainsi dire, la base du développement de la pensée française. Et quel moment choisit-on pour mettre en question toutes les institutions à la fois ? Le moment où elles sont plus nécessaires que jamais, le moment où, loin de les restreindre, il faudrait les étendre et les élargir. Eh ! Quel est, en effet, j’en appelle à vos consciences, j’en appelle à vos sentiments à tous, Quel est le grand péril de la situation actuelle ? L’ignorance. L’ignorance encore plus que la misère. L’ignorance qui nous déborde, qui nous assiège, qui nous investit de toutes parts. C’est à la faveur de l’ignorance que certaines doctrines fatales passent de l’esprit impitoyable des théoriciens dans le cerveau des multitudes. Et c’est dans un pareil moment, devant un pareil danger, qu’on songerait à attaquer, à mutiler, à ébranler toutes ces institutions qui ont pour but spécial de poursuivre, de combattre, de détruire l’ignorance. On pourvoit à l’éclairage des villes, on allume tous les soirs, et on fait très bien, des réverbères dans les carrefours, dans les places publiques ; quand donc comprendra-t-on que la nuit peut se faire dans le monde moral et qu’il faut allumer des flambeaux dans les esprits ? Oui, messieurs, j’y insiste. Un mal moral, un mal profond nous travaille et nous tourmente. Ce mal moral, cela est étrange à dire, n’est autre chose que l’excès des tendances matérielles. Eh bien, comment combattre le développement des tendances matérielles ? Par le développement des tendances intellectuelles ; il faut ôter au corps et donner à l’âme. Quand je dis il faut ôter au corps et donner à l’âme, ne vous méprenez pas sur mon sentiment. Vous me comprenez tous ; je souhaite passionnément, comme chacun de vous, l’amélioration du sort matériel des classes souffrantes ; c’est là selon moi, le grand, l’excellent progrès auquel nous devons tous tendre de tous nos veux comme hommes et de tous nos efforts comme législateurs. Eh bien, la grande erreur de notre temps, ça a été de pencher, je dis plus, de courber l’esprit des hommes vers la recherche du bien matériel. Il importe, messieurs, de remédier au mal ; il faut redresser pour ainsi dire l’esprit de 1’homme ; il faut, et c’est la grande mission [ … ] relever l’esprit de l’homme, le tourner vers la conscience, vers le beau, le juste et le vrai, le désintéressé et le grand. C’est là, et seulement là, que vous trouverez la paix de l’homme avec lui-même et par conséquent la paix de l’homme avec la société. Pour arriver à ce but, messieurs, que faudrait-il faire ? Il faudrait multiplier les écoles, les chaires, les bibliothèques, les musées, les théâtres, les librairies. Il faudrait multiplier les maisons d’études où l’on médite, où l’on s’instruit, où l’on se recueille, où l’on apprend quelque chose, où l’on devient meilleur ; en un mot, il faudrait faire pénétrer de toutes parts la lumière dans l’esprit du peuple ; car c’est par les ténèbres qu’on le perd. Ce résultat, vous l’aurez quand vous voudrez. Quand vous le voudrez, vous aurez en France un magnifique mouvement intellectuel ; ce mouvement, vous l’avez déjà ; il ne s’agit pas de l’utiliser et de le diriger ; il ne s’agit que de bien cultiver le sol. époque où vous êtes est une époque riche et féconde ; ce ne sont pas les intelligences qui manquent, ce ne sont pas les talents ni les grandes aptitudes ; ce qui manque, c’est l’impulsion sympathique, c’est l’encouragement enthousiaste d’un grand gouvernement. Je voterai contre toutes les réductions que je viens de vous signaler et qui amoindriraient l’éclat utile des lettres, des arts et des sciences. Je ne dirai plus qu’un mot aux honorables auteurs du rapport. Vous êtes tombés dans une méprise regrettable ; vous avez cru faire une économie d’argent, c’est une économie de gloire que vous faites. Je la repousse pour la dignité de la France, je la repousse pour 1’honneur de la République. » Petit supplément Louise Michel et Victor Hugo Viro Major l'hommage de Victor Hugo à Louise Michel Viro Major Ayant vu le massacre immense, le combat Le peuple sur sa croix, Paris sur son grabat, La pitié formidable était dans tes paroles. Tu faisais ce que font les grandes âmes folles Et, lasse de lutter, de rêver de souffrir, Tu disais " j'ai tué ! " car tu voulais mourir. Tu mentais contre toi, terrible et surhumaine. Judith la sombre juive, Aria la romaine Eussent battu des mains pendant que tu parlais. Tu disais aux greniers " J'ai brûlé les palais !" Tu glorifiait ceux qu'on écrase et qu'on foule. Tu criais " J'ai tué ! Qu'on me tue ! - Et la foule Ecoutait cette femme altière s'accuser. Tu semblais envoyer au sépulcre un baiser ; Ton oeil fixe pesait sur les juges livides ; Et tu songeais pareille aux graves Euménides. La pâle mort était debout derrière toi. Toute la vaste salle était pleine d'effroi. Car le peuple saignant hait la guerre civile. Dehors on entendait la rumeur de la ville. Cette femme écoutait la vie aux bruits confus D'en haut, dans l'attitude austère du refus. Elle n'avait pas l'air de comprendre autre chose Qu'un pilori dressé pour une apothéose ; Et, trouvant l'affront noble et le supplice beau Sinistre, elle hatait le pas vers le tombeau Les juges murmuraient " Qu'elle meure ! C'est juste Elle est infâme - A moins qu'elle ne soit Auguste " Disait leur conscience. Et les jugent, pensifs Devant oui, devant non, comme entre deux récifs Hésitaient, regardant la sévère coupable. Et ceux qui, comme moi, te savent incapable De tout ce qui n'est pas héroisme et vertu, Qui savent que si l'on te disait " D'ou viens tu ? " Tu répondrais " Je viens de la nuit ou l'on souffre ; Oui, je sors du devoir dont vous faites un gouffre ! Ceux qui savent tes vers mystérieux et doux, Tes jours, tes nuits, tes soins, tes pleurs donnés à tous, Ton oubli de toi-même à secourir les autres, Ta parole semblable aux flammes des apôtres ; Ceux qui savent le toit sans feu, sans air, sans pain Le lit de sangle avec la table de sapin Ta bonté, ta fierté de femme populaire. L'âpre attendrissement qui dors sous ta colère Ton long regard de haine à tous les inhumains Et les pieds des enfants réchauffés dans tes mains ; Ceux-la, femme, devant ta majesté farouche Méditaient, et malgré l'amer pli de ta bouche Malgré le maudisseur qui, s'acharnant sur toi Te jetai tout les cris indignés de la loi Malgré ta voix fatale et haute qui t'accuse Voyaient resplendir l'ange à travers la méduse. Tu fus haute, et semblas étrange en ces débats ; Car, chétifs comme tous les vivants d'ici-bas, Rien ne les trouble plus que deux âmes mêlées Que le divin chaos des choses étoilées Aperçu tout au fond d'un grand coeur inclément Et qu'un rayonnement vu dans un flamboiement. Victor Hugo Décembre 1871 Lettres de 1850 à 1879 de Louise Michel, la "dévote de la Révolution", à Hugo, le "Maître" Monsieur, Je ne sais ce que je vous dirai mais je suis au désespoir et il faut que je vous écrive pour souffrir moins. Je ne m’inquiète pas si ma lettre doit vous paraître étrange car vous ne me connaissez pas et tout ce qui me tourmente ne peut vous toucher, mais il faut que je vous le dise pour me calmer un instant. Mme Dehamis, ma grand-mère que je ne n’ai jamais quittée, est dangereusement malade et je me trouve sans force et sans courage contre cette affreuse inquiétude. Je suis comme folle, je ne sais ce que je fais ni ce que je dis. L’idée de la perdre est horrible pour moi et je n’en ai pas d’autre. Je vois bien qu’il n’y a plus d’espoir et que tout ce qu’on me dit de rassurant n’est que pour me consoler et cependant, malgré son âge, je ne puis m’imaginer qu’il me soit possible de vivre sans elle. J’oublie presque qu’il me resterait ma mère à consoler. Depuis que je suis au monde, je n’ai jamais quitté mon aïeule. Elle a été ma seule institutrice. Nous ne vivions que l’une pour l’autre et maintenant tout cela va finir. Je ne sais ce que je vous dis. Mes idées se brouillent mais vous me pardonnerez et vous m’écrirez quelques lignes pour me donner un peu de courage car je n’en ai plus. On dit que je suis pieuse, eh bien, si je la perdais, il me semble que je ne croirais plus rien. Dieu serait trop cruel. Je trouve sous ma main je ne sais quels brouillons ; je vous les envoie. Ce sont peut-être les derniers que vous recevrez de moi. Si je la perdais, je ne ferais plus rien ou bien cela me ferait mourir. Alors, frère, vous feriez quelques vers sur ma tombe. Adieu, pardon de cette lettre, je suis folle de douleur, je ne sais que devenir, tout me semble mort, écrivez-moi. Automne 1850 Merci, Ô merci mille fois. C’est du bonheur, au milieu de toutes mes peines, de me réfugier en vous comme dans un autre monde. Je ne vous écrirai pas souvent mais de bien longues lettres où je vous enverrai toute mon âme. Si j’ai cru que vous ne me répondiez pas, c’était sans vous accuser. Hugo, je croyais à la fatalité. Je désespérais même de Dieu et il semblait qu’il devait me maudire parce qu’en doutant de lui j’avais foi en vous. Merci encore. N’importe ce qui m’arrive si je vous le confie, je souffrirai moins. Qu’importe la distance entre nous, mon âme est un rayon de la vôtre et je laisse courir ma pensée sans m’inquiéter. Pardon de ne pas vous écrire avec plus de respect mais avec vous ces mots glacés me font mal, et puis, moi qui ne vous verrai jamais, pourquoi me serait-il défendu de vous le dire, Hugo ? Vous comprendriez qu’un prisonnier aimât le seul rayon de soleil qui brillerait dans sa solitude. Laissez-moi vous dire tout ce que je pense, comme si vous étiez là, devant le foyer et dans le fauteuil vide de ma grand-mère, vos mains dans les miennes, ainsi que nous restions de longues heures le soir, elle et moi. Avez-vous éprouvé parfois de ces instants où l’âme brise le corps ? C’est ainsi que je mourrai, et alors je serai bien heureuse, je la reverrai. Et si Dieu me donne des ailes, je veillerai sur vous. Dites-moi si vous avez éprouvé de ces pensées qui dévorent et qu’on ne comprend pas ? Ce doit être la langue du ciel ou celle de l’enfer. On ne le sait que dans le tombeau. Tout me semble comme un rêve ; mais c’est peut-être le rêve qui est la vie. J’en suis venue à douter de tout, même de la réalité de l’existence. J’écrirai quelques pages de ma vie, mais pour vous seul. Tout ce que je vous dirai ne sera qu’entre dieu et nous. Et vous comprendrez pourquoi j’ai cru à la fatalité, et pourquoi, quand un nom magique a brillé dans ma nuit, j’ai crié vers lui. Mais ce n’est pas aujourd’hui que je vous dirai tout cela, il m’est impossible de suivre une idée, et ces pensées que je ne puis démêler me déchirent. Il me semble que mon front se brise pour les laisser s’envoler et je ne trouve pas une parole pour vous écrire. Hugo, ne m’oubliez jamais, dites-moi que vous pensez à moi. Lors même que cela ne serait pas, dites-le moi. ... Ô non, la lettre que je vous ai écrite ne sera pas la dernière, comme je vous le disais dans un de ces instants de découragement où je doute de tout, excepté de vous. Aujourd’hui, je me sens de la force et du courage et je crois à ma destinée. Que ce soit orgueil ou pressentiment, qu’importe, je vous le dirai, car je ne voudrais pas qu’une seule de mes pensées fût un secret pour vous. N’êtes-vous pas un frère pour moi, Hugo, et plus qu’un frère, car nous n’avons qu’une âme. Je voudrais vous remercier encore de m’avoir dit de vous écrire souvent, à vous qui avez tant d’autres préoccupations que mes lettres. J’ai mille choses à vous dire et je ne trouve qu’un seul mot pour tout cela, j’ai bien le droit de vous le redire, moi qui me suis donnée à Dieu pour toujours, c’est comme si un habitant de l’autre monde venait de la tombe ou du ciel vous répéter, frère, que je vous aime, parce que vous êtes généreux et grand au milieu de tant de caractères hideux. Ah, vous ne savez pas combien vous êtes grand, même aux yeux de la calomnie. J’ai le droit aussi de vous le dire, moi qui vous ferais de même des reproches si j’avais des doutes. À bientôt, car, si je ne vous écrivais pas, je ne pourrais supporter la vie. Victor Hugo Ouvrez Les Coles Vous Fermerez Les Prisons VaretJennifer Dissertation Argumentative. or 3 Sni* to View Victor Hugo , écrivain et politicien engagé du XIX’ siècle était pour l’éducation gratuite , avait un jour développé une thèse qui est la suivante Ouvrez les écoles , fermez les prisons » cette thèse avait à l’époque remuer les esprits et , a l’heure d’aujourd’hui , elle continue de les remuer . Voici notre avis sur cette thèse qui a tant marquer les esprits Certaines FAC ou grandes écoles sont trop loin des petites villes ex Cambrai , nord de la France ce qul empêche des personnes oulant faire des études d’y accéder cependant ouvrir des écoles serait un bon remède à ce problème . L’un de mes cousins ayant de bonnes notes à l’école, étant presque un élèves modèle conséquent ils abandonnent leurs études. Donc ouvrir des écoles , gratuites , seraient sans doute la solution . Il faudrait songer a créer plus d’écoles afin d’équilibrer le nombre d’élèves par classe pour permettre aux professeurs d’avoir plus de temps pour chaque élèves ce qui permettrait aux élèves de se sentir plus encadrées . Actuellement chaque professeur à au minimum 28 élèves par classes ce qui est presque impossible à gérer en même temps que faire cours et beaucoup d’élèves manquent de motivation pour aller à l’école car ils savent que les professeurs n’auront pas de temps à leur accorder . Certaines personnes n’iront pas à l’école par rapport à l’attitude de leur parents et quoi que l’on fasse , même si l’on ouvrait des écoles cela ne changerait rien . Certains parents ne respectent pas les décisions des professeurs vis à vis de leur enfant ce ui conforte leur enfant à ne rien faire à l’école et à ne pas y aller , par conséquent ces enfants n’auront pas de travail et seront obligé d’enfreindre la loi pour survivre voler , escroquer dealer . Prenons en exemple la ville de Marseille , certains jeunes de quartiers difficile préfère dealer déjà très jeunes douze- treize ans et leurs parents ne disent rien , alors que l’école est obligatoire . Mêmes les personnes qui ont eu accès à l’école , qui ont eu de bonnes notes , qui ont su se montrer respectueux envers leurs professeurs et leur famille peuvent devenir I Citation Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons » qui a fait mentir Victor Hugo ? le 9 septembre 2010 Découvrez une citation Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons » qui a fait mentir Victor Hugo ? le 9 septembre 2010 - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons » qui a fait mentir Victor Hugo ? le 9 septembre 2010 issus de livres, discours ou entretiens. Une Sélection de 2 citations et proverbes sur le thème Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons » qui a fait mentir Victor Hugo ? le 9 septembre 2010 . 2 citations > Citation de Natacha Polony n° 168157 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesSi nous voulons que notre école n’ajoute pas au malheur du monde, quand elle devait au contraire contribuer à le combattre, il faut sans doute retrouver cette certitude que le savoir libère les hommes en les inscrivant dans une continuité, celles des hommes qui les ont précédés, et dans une communauté, celle de la société dont ils partagent les valeurs. Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons » qui a fait mentir Victor Hugo ? le 9 septembre 2010 de Natacha PolonyRéférences de Natacha Polony - Biographie de Natacha PolonyPlus sur cette citation >> Citation de Natacha Polony n° 168156 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votes< Page 1/1Votre commentaire sur ces citations Citation Age Citation Animal Citation Amitié Citation Amour Citation Art Citation Avenir Citation Beauté Citation Avoir Citation Bonheur Citation Conscience Citation Couple Citation Confiance Citation Courage Citation Culture Citation Désir Citation Dieu Citation Education Citation Enfant Citation Espoir Citation Etre Citation Faire Citation Famille Citation Femme Citation Guerre Citation Homme Citation Humour Citation Jeunesse Citation Joie Citation Justice Citation Liberté Citation Mariage Citation Mére Citation Monde Citation Morale Citation Naissance Citation Nature Citation Paix Citation Passion Citation Père Citation Peur Citation Plaisir Citation Politique Citation Raison Citation Religion Citation Rêve Citation Richesse Citation Sagesse Citation Savoir Citation Science Citation Séduction Citation Société Citation Souffrance Citation Sport Citation Temps Citation Tolérance Citation Travail Citation Vérité Citation Vie Citation Vieillesse Citation Voyage Thèmes populaires +

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